Le revers de la médaille.

Je voudrais dédier ce message intitulé "le revers de la médaille" aux dirigeant syndicalistes français.

Sauf, à avir la mémoire courte, durant tout le quinquennat de Sarkozy et surtout au cours de la campagne électorale à la présidence de la République, tous les syndicalistes,ont plus ou moins appelé à voter contre Sarkozy qui selon eux portait tous les mots de la France et des français. C'est aisni que la célèbre jufe Eva Joly se joignant à ceux-ci avait déclaré qu'il faut voter à gauche ou écologiste pour "chasser " Sarkozy.

Ainsi, ceci dit ceci fait.

Tous ces érudits et vaillants syndicalistes ont donc eu gain de cause puisque Sarkozy a été chassé comme ils le souhaitaient.

Ainsi en chassant Sarkozy ils pensaient que Hollande serait d'emblée de leur côté et tout donner sans réchigner en tout cas en les recevant en coulisses avait probablement fait miroiter des lendemains rayonnants.

Surtout que Monsieur Hollande et ses amis disaient qu'il n'y avait pas de crise et que c'est Sarkozy qui depuis des décennies a plongé la France dans le déclin. Sarkozy était donc le souffre douleur des uns et des autres, notamment à gauche et le centre de Monsieur Bayerou.

Ces gens oubliaient que Sarkozy ne faisait pas la chasse aux chefs d'entreprise et pouvaient obtenir des choses,quoi qu'on en dise, pour les salariés.

Et maintenant que nos chers nouveaux dirigeants sont au pouvoir et constaté la réalité de la situation mondiale et celle de la France, la chanson à changé et le copinage avec les syndicats devient plus tendu.

C'est ainsi que les Montebourg, les Ayrault et les autres tous les 4 matins annoncent que la situation de telle ou telle autre entreprse en difficulté est réglée et que les salariés pouvaient dormir tranquilles et le lendemain on annonce que la situation est tout le contraire et que les repreneurs annoncés ne sont pas aptes à souscrire aux projets de reprises annoncé avec fracas par les pouvoirs publics.

Depuis lors tous les syndicats des enseignants, des salariés et autres mécontents manifestent et se rebellent contre celui-là qui'ils ont eux mêmes choisi pour "chasser" Sarkozy.

C'est justement là le revers de la médaille.

Pourtant il est nombre d'adages que nos chers dirigeants syndicalistes devraient méditer : notamment, "On sait ce que l'on perd mais que l'on ignore ce que l'on va retrouver".

Ainsi la sévérité avec laquelle ils jugeaient Sarkozy se retourne aujourd'hui contre eux. c'est cela le revers de la médaille.

Kodjosiama.

Comments

[Le vieux bougon]

Je lis là une pensée bien éloignée de la bienpensance et le risque de revers de médaille n'est pas loin.(Je prescrits en général le principe de précaution d'office dès les premiers symptômes.) Mais on voit la la différence entre voter contre et voter pour. Ce n'est pas parce que l'on vote contre que l'on est pour et inversement ! Plus sérieusement, si Nicolas Sarkozy était passé, les manifestations et autres se seraient déjà produites depuis longtemps.