Quand les hommes s'enchaîent, la nature se déchaîne
La nature est, comme la langue d'Oeuspe, la meilleure et la pire des choses. Quant à l'homme, c'est le perpétuel sanguinaire de tous les temps.
Depuis quelques semaines, Khadafi, et avant lui beaucoup de dictateurs ont plus ou moins massacré leurs peuple et surtout sur le, maudit, continent africain. les scènes récentes les plus violentes se déroulent depuis plusieurs jours, sous les yeux des peuples du monde. En effet, Monsieur Kadafi, au mépris de toutes règles élémentaires d'humainité et de démocratie, bombarde, sans vergogne, le peuple lybien, qu'il appelle son peuple, comme s'il était propriétaire de l'Etat lybien.
Les grandes puissances hésitent, entre intervenir pour sauver les populations sous le joug d'un dirigeant tyran, appelé Khadafi.
Les démarches humanitaires de notre président Sarkosy n'ont eu pour l'instant, qu'un écho très limité voire même nul ailleurs comme en France où les grands érudits des politiciens de gauche ou du centre, toujours prompts à critiquer le soit-disant mollesse des démarches du gouvernement de Sarkosy sont muets comme des carpes.
Mais il résulte de cela que l'homme Khadafi continue, au mépris de toutes règles humaines, de massacrer son peuple. Cette cruauté humaine s'oppose au déchaînement de la nature qui frappe à l'autre bout de monde des milliers de personnes.
Je veux parler, ici du tremblement de terre de magnitude 8/9 qu'à connu le Japon.
Ce déchaînement cruel que cela puisse paraître, ce sont des phénomènes naturels, qui, même, connus, de longues dates des scientifiques, sont hors de portée de tout individu ou état, aussi puissant soit-il. Pourquoi comparer ces deux situations ?
En effet, l'homme vit sur la terre créée avant son apparition et le ou les phénomènes terrestres qui sont inhérents de la géologie des fonds marins et qui concourent à l'existence et à la survie de la planète-terre, peuvent, au gré du "vent"et à tout instant faire sa révolution et arriver à décimer tout une population ou une partie de la terre par des inondations brutales appelées (TSUNEMIES), phénomènes dignes de l'époque biblique. (voir la genèse avec l'embarquement de Noë).
Mais, si on peut déplorer ces catastrophes brutales, heureusement, indépendantes de toute volonté humaine, cela semble préférable à des actions sanguinaires humaines qui sont des actions volontaires de destruction massives des individus qui sont sensés profiter des richesses de la terre mère partie de tous.
A mon avis, tout individu né quelque part a le droit de vivre sur la terre et, heureusement, pouvoir profiter de ce que cette planète mère-patrie de tous recèle de bonheur ou de malheurs en certaines circonstances naturelles inhérentes à la vie et non pas à la cruauté humaine.
D'ailleurs, en cas de malheurs naturels, l'élan de générosité humaine apparaît forte sans faille car les pays n'ont pas besoin de l'ONU pour décider de l'aide à apporter à ces populations, au demeurant paisibles, que le malheur naturel vient frapper à plein fouet.
Sur ce point, je veux attirer l'attention des scientifiques qui croient que les seuls feux de brouisse, allumés par certaines peuplades indigènes, pour leur survie, seraient une force probante provocatrice de ce genre de phénomène parce qu'ils seraient sources de dérèglements climatiques. Ce serait une grande erreur.
Qui oserait dire ou pense que les volcans, qui depuis les fonds marins qui provoqueraient ce genre de catastrophes, sont les faits de l'homme. Est-ce que ces populations n'auraient pas plus besoins d'allumer ces feux pour leur survie que de toujours tendre la main pour pouvoir manger.
Dans tous les cas, il est déplorable de voir souffrir des hommes : soit par les faits de l'homme cruel ou par l'effet de la nature imprévisible qui est aussi cruelle mais qui poursuit sa révolution depuis que le monde existe.
Mes chers amis, aujourd'hui, plus que jamais, il y a tellement de sujets de préoccupation que les observateurs, même de bonne foi ne pourront jamais tout développer.
Je vous souhaite à tous, beaucoup de réflexions sur ces sujets qui touchent à la personne humaine.
Car mourir par le fait de l'homme ou de la nature, c'est quand même mourir, c'est à dire disparaître de la surface terrestre à tout jamais.
Kodjosiama exhorte amicalement tout à chacun à commenter amplement cet exposé
Et merci à tous pour le temps perdu à lire ces quelques lignes.