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Le remue-méninges de Kodjo
19 octobre 2010

la valeur des grèves en France.

Les grèves premiers emplyeurs de France,

Comment s'étonner que la France, notre grand pays, une des plus grandes nations industrialisées du monde, voit s'étioler son prestige dans le monde en se voyant talonner ou devancer par des nouveaux pays émergents, jadis appelés Tiers Monde ou pays sous devéloppés, puis en voie de développement. L'immobilisme d'un pays peut le réduire à son déclin.

Mais pour ne pas subir l'immobilisme, durant sa vie, un pays, quelque soit sa taille ou son histoire doit perpétuellement se réformer.

Le constat, souvent amère, en France est que nous sommes toujours d'accord pour soulever des problèmes de tous ordres : Economie, Santé, Education, immigration,  Emploi,  et j'en passe qui se posent aux Français. Cependant dès qu'un dirigent émet le désir de trouver des solutions, nous nous retranchons derrière les acquis pour tenter de refuser toutes nouvelles réformes.

Alors se déferlent les mouvements syndicaux et le plus souvent appuyés par les mouvents des partis de gauche avec un slogan à la bouche : nous sommes en démocratie, il n'ya pas eu de dialogue ou de concertation. Ce déferlement conduit donc aux grèves que l'on connaît en France avec les blocage du pays par descomportements antisociaux ; alors que les parlementaires, représentation nationale élue, étudient les lois et pouvant les améliorer avant de les voter.

Si l'on comptait le nombre de jours de grèves par an en France et leurs conséquences sur la limitation des jounées et heures non travaillées, on peut dire bravo aux syndicats français d'employer si peu de gens pour empêcher tant  de personnes d'aller travailler. C'est cela le paradoxe des syndicats français.

Kodjosiama

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