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Le remue-méninges de Kodjo
14 novembre 2013

Hollande : chasseur englué.

Au plus fort de la campagne électorale présidentielle de 2012, Monsieur Hollande ne voyait que par les "grands défauts" de Sarkozy, à quiconque  ne sait pour quelles raisons, il lui envoulait tant.

Aussi, associé à l'ancienne magistrat Eva Joly qui publia à très haute voix :  chassons Sarkozy pour libérer les français.

Et Hollande, dans ses refrains : Moi président , ci ; moi président ça, ou encore le changement c'est maintenant,

a fait croire aux français qui voulaient le croire et lui faire confiance, car toute sa campagne était axée par la haine envers Sarkozy, en niant par la même occasion l'existence de la crise mondiale que Sarkozy, heureusement, qui était l'homme de la situation, par sa compétence a su protéger les français et leurs intérêts dans un monde bouillonnant de désespoir. (voir la Grèce, l'Espagne, le Portugal et dans une moindre mesure l'Italie.

Ces pays décadants, il y a peu de temps, ont tous ou presque remonté la pente et la France de Hollande patauge dans la glue.

Aussi, à part la démolition peu glorieuse de la gestion de Sarkozy, ( certains nombre de lois votées sous Sarkozy ont été supprimées) Monsieur le président noramal, bien entouré par Monsieur Ayrault, et Moscovici et la quarentaine de   ministres qui ne connaissent rien de la gestion de l'Etat, ne fait que s'enfoncer dans la glue jusqu'à battre le record d'impopularité, aux dernières nouvelles, à 21 %. On lui prévoit même une baisse à 15% dans quelques semaines.

Même Sarkozy, que les français détestaient parce qu'il a diné dans un restaurant chic le jour de son élection, ou passé quelques jours de vacances sur un bâteau d'un riche prpriétaire, mais ne contestaient pas sa puissance de travail et sa compétence, n'était jamias tombé aussi bas.

Le thème favorit des détracteurs de Sarkozy, était qu'il dressait les français les uns contre les autres, c'est que se complaisaient à réciter Monsieur Hollande, Monsieur Bayerou et les De Villepin et tant d'autres encore.

Oû sont aujourd'hui ces érudits détracteurs. Il manquent de voix, alors que se manisfent partout en France des mouvements de mécontentement :

des agriculteurs, des commerçants, des enseignants, des policiers, des transporteurs, des retraités et jen oublie.

Si j'ai bonne mémoire, au cours du quinquennat de Sarkozy, je n'ai pas vu tant de mouvements d'ensemble au même moment pour les mêmes causes.

Raisons essentiellement liées à la prolifération et à l'augmentation des impôts de tout genre et  les mauvaises décisions de Monsieur Hollande et sa troupe ; et dans ce dernier cas, on dit blanc aujourd'hui et noir le lendemain. Aucune orientation précise n'est perçue d'où le qualificquatif d'incompétenceet de manque d'autorité qui affublent Monsieur Hollande et son premier ministre.

Ainsi pour calmer les uns et les autres, ils sortent à coups de baguette magique et en guise de subvention des sommes fabuleuses :

-Trois milliards pour Marseille, un milliard pour les berets rouges de Bretagne et des centaines de millions pour d'autres corps de métier et personne ne sait comment il vont financer ces fabuleuses attributions.

Monsieur Hollande ne disait-il pas que toutes ses décisions seront concertées ? heureusement qu'il fait de la concertation, sinon qu'est-ce que ça  serait s'il ne faisait pas de concertation ?

Monsieur Hollande disait que grâce lui, la France sera apaisée ?

Quand on voit comment les racisme déboule avec des injures contre le ministre de la justice ? quand on voit la casse de biens publics qui se propage, je me demande ce que Hollande appelle une France apaisée.

Tous les commentateurs politiques, les journalistes et les socilogues de tout bord dénoncent les mauvaises orientations ou manque d'orientation et en plus le manque d'autorité  du président normall .

Alors on voit bien comment il est englué ; ne sachant pas comment s'en sortir, il garde le silence.

On nous dit qu'il est grand tacticien ok. je ne sais pas si cela suffit, de nos jours, à gérer un pays.

Il serait mieux si la tactique précédait ou suivait une bonne orientation politique.

Les hommes au pouvoir nous disent : nous avons fait beaucoup, nous attendons les résultats ;  résultats, qui,pour l'instant, ne viennent pas.

Ils parlent comme si la gestion d'un pays consistent à prendre quelques décisions et attendre que cela se passe. Si une fondation n'est pas suivie de construction, la maison ne sera jamais habitée.

Je parlais de la connaissance de la gestion administrative ou plutôt la méconnaissance de cette gestion par les hommes au pouvoir : cela se vérifie tous les jours.

En effet, j'ai écouté récemment sur une chaîne d'info, je crois que c'est la 5 ou la BFM Mme Benkassem, ministre porte parole du gouvernement :

interrogée sur le coût des dégradations des appareils d'Eco-taxe et le financement du coût des répara trions, elle affirme : il y a une assurance.

Évidemment elle ignore que l'Etat est son propre assureur et qu'il n'y pas d'assurances pour payer les dégradation des bien publics par des manifestants. Don ce sont les contribuables qui payent.

Ce genre de récitation des formules toutes prêtes inculquées aux ministres qui n'obéissent même leur hiérarchie, voir le nombre de cacophonie au sein du gouvernement et au sein du parti socialiste, on voit que la glue s'étale partout et paralyse ce pouvoir qui, dans l'opposition était toujours prompt à donner des leçons.

N'est-ce pas que c'est plus facile de gérer une crise au Mali où il n'y a personne en face que gérer les problèmes en France ?

 

Merci à vous tous lecteurs de commenter abondammant 

 

 

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